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Le REQUIEM DE MOZART

Créée le 29 septembre 2012 à l'occasion du Festival d'Ambronay, cette production a été donnée de nouveau à la Comédie de Clermont-Ferrand le 3 octobre 2012.

Orchestre, chœur et solistes seront placés ici sous la direction de Leonardo García Alarcón, chef en résidence du Centre culturel de rencontre d'Ambronay jusqu'en 2014. Leonardo García Alarcón aborde pour la première fois un répertoire mozartien qu'il affectionne tout particulièrement. Il a choisi de diriger, sur instruments d'époque, les deux ultimes chefs-d'oeuvre de Mozart : le Concerto pour clarinette en la majeur K.622 et le Requiem K.626, l'un composé quelques semaines avant sa mort et l'autre, pièce énigmatique laissée inachevée par un compositeur au sommet de son art.
Du fameux Requiem, œuvre maintes fois enregistrée et pilier du répertoire des orchestres symphoniques et des choeurs dans le monde entier, Leonardo García Alarcón propose une vision davantage tournée vers l'héritage baroque que vers la grande tradition germanique des XIXe et XXe siècles. Il opte pour la version éditée en 1983 par le musicologue anglais Richard Maunder. Cette version, très rarement jouée et enregistrée, est plus conforme selon lui aux volontés de Mozart que la version complétée par son élève Süssmayr, qu'on a aujourd'hui l'habitude d'entendre.

Coproduction : CCR d'Ambronay & Chœur de Chambre de Namur. Ce concert fera l'objet d'un disque à paraître pour le label Ambronay Éditions en 2013.
New Century Baroque / Chœur de Chambre de Namur / Leonardo García Alarcón, direction
Lucy Hall, soprano ; Angélique Noldus, alto ; Hui Jin, ténor ; Josef Wagner, basse ; Benjamin Dieltjens, clarinette.

La presse en parle :

Un Mozart à ressusciter les morts !
" Leonardo Garcia Alarcon fait palpiter le public d'Ambronay avec un Requiem haletant, généreux et inspiré. On croyait que tout avait été dit sur le Requiem de Mozart. (...) On se trompait ! (...) Leonardo Garcia Alarcón, tel un Sherlock Holmes de la musique, débusque les moindres indices pour restituer l'esprit de cette partition. (...) Des les premiers accords de l'Introitus, le maestro argentin crée une tension dramatique, portée par un élan vital, une pulsation presque angoissante, qui ne nous lâchera pas avant la derniere mesure. Chaque étape de cette messe des morts ne ressemble à la précédente. (...) Pendant ce qui ressemble à la traversée d'un océan tantôt déchaîné, tantôt apaisé, il maintient le cap, dirigeant son équipage avec une precision rythmique intraitable et une générosité qui suscite l'adhésion."
Antonio Mafra, Le Progrès, 1er octobre 2012.

Modifié le vendredi 08 novembre 2013
Le REQUIEM DE MOZART
"Le Concerto pour clarinette K. 622 (interprété avec virtuosité et sensibilité par Benjamin Dieltjens sur un splendide cor de basset) dégage une lumineuse mélancolie." Fabrice Malkani, Forumopera.com.
"Le Concerto pour clarinette K. 622 (interprété avec virtuosité et sensibilité par Benjamin Dieltjens sur un splendide cor de basset) dégage une lumineuse mélancolie." Fabrice Malkani, Forumopera.com.
"New Century Baroque exhale ses couleurs sous le pétrissage amoureux de la baguette de Leonardo Alarcón." Gille Charlassier, Concertclassic.com.
"New Century Baroque exhale ses couleurs sous le pétrissage amoureux de la baguette de Leonardo Alarcón." Gille Charlassier, Concertclassic.com.
"Leonardo Garcia Alarcon fait palpiter le public d'Ambronay avec un Requiem haletant, généreux et inspiré." Antonio Mafra, Le Progrès.
"Leonardo Garcia Alarcon fait palpiter le public d'Ambronay avec un Requiem haletant, généreux et inspiré." Antonio Mafra, Le Progrès.


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